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Notre mouvement pour l'annulation de la suppression des 11 200 postes et ses conséquences sur la situation de notre lycée, a connu une journée de très forte mobilisation. Un palier vient d'être franchi. Grévistes et manifestants à Paris n'ont jamais été aussi nombreux. La province est dorénavant dans l'action. Nous sommes sur la bonne voie pour faire reculer le gouvernement, même si nous savons que la route risque d'être longue encore avant que le gouvernement ne soit contraint à céder.
LE MINISTRE DE L'EDUCATION NE DIT PAS LA VERITE
Il voudrait faire croire à l'opinion publique que ces suppressions de postes sont uniquement motivées par la baisse du nombre d'élèves dans le secondaire. Ainsi, il voudrait nous faire croire que puisque les élèves sont moins nombreux, les classes doivent l'être également, et les postes nécessaires être moins nombreux eux aussi en conséquence. Mais la réalité est toute autre : le nombre moyen d'élèves par classe risque de passer de 24 à 29 en seconde. On voudrait faire effectuer de plus nombreuses « heures supplémentaires » par les enseignants. On supprime les BEP pour économiser des postes. Non, il ne s'agit que de choix budgétaires sur le dos de l'éducation.
HIER, A BRAQUE, UNE BONNE JOURNEE
Nous étions une quarantaine, professeurs et lycéens à discuter ensemble le matin. A cette occasion, des élèves ont informé qu'une Assemblée générale d'élèves était prévue ce lundi dans le lycée. Nous étions une cinquantaine, rejoints par des enseignants du nouveau collège Ariane, à manifester dans Argenteuil. Deux professeurs et deux lycéens ont été reçus par les services de la Préfecture. Nos représentants leur ont rappelé la situation de notre lycée et nos revendications. Nous étions plus d'une centaine à la manifestation parisienne qui a regroupé un chiffre record de participants.
NOUS SOMMES SUR LA BONNE VOIE
De nouvelles journées d'action sont prévues dans les jours qui viennent. Le mouvement grandit. Vacances ou pas, une grande manifestation nationale est d'ores et déjà prévue le dimanche 18 mai. Préparons-nous en avril, et que le mois de mai soit joli pour la satisfaction de nos revendications. Pour préparer cela, que tous les indécis nous rejoignent dans le combat.
Mardi 15 avril, à 17 heures 30, un rendez-vous a été pris à l'Inspection Académique pour évoquer la situation de notre établissement touché par les suppressions de postes".
Les sections CGT et SNES du lycée Georges Braque d'Argenteuil le 10.04.08
LE MINISTRE DE L'EDUCATION NE DIT PAS LA VERITE
Il voudrait faire croire à l'opinion publique que ces suppressions de postes sont uniquement motivées par la baisse du nombre d'élèves dans le secondaire. Ainsi, il voudrait nous faire croire que puisque les élèves sont moins nombreux, les classes doivent l'être également, et les postes nécessaires être moins nombreux eux aussi en conséquence. Mais la réalité est toute autre : le nombre moyen d'élèves par classe risque de passer de 24 à 29 en seconde. On voudrait faire effectuer de plus nombreuses « heures supplémentaires » par les enseignants. On supprime les BEP pour économiser des postes. Non, il ne s'agit que de choix budgétaires sur le dos de l'éducation.
HIER, A BRAQUE, UNE BONNE JOURNEE
Nous étions une quarantaine, professeurs et lycéens à discuter ensemble le matin. A cette occasion, des élèves ont informé qu'une Assemblée générale d'élèves était prévue ce lundi dans le lycée. Nous étions une cinquantaine, rejoints par des enseignants du nouveau collège Ariane, à manifester dans Argenteuil. Deux professeurs et deux lycéens ont été reçus par les services de la Préfecture. Nos représentants leur ont rappelé la situation de notre lycée et nos revendications. Nous étions plus d'une centaine à la manifestation parisienne qui a regroupé un chiffre record de participants.
NOUS SOMMES SUR LA BONNE VOIE
De nouvelles journées d'action sont prévues dans les jours qui viennent. Le mouvement grandit. Vacances ou pas, une grande manifestation nationale est d'ores et déjà prévue le dimanche 18 mai. Préparons-nous en avril, et que le mois de mai soit joli pour la satisfaction de nos revendications. Pour préparer cela, que tous les indécis nous rejoignent dans le combat.
Mardi 15 avril, à 17 heures 30, un rendez-vous a été pris à l'Inspection Académique pour évoquer la situation de notre établissement touché par les suppressions de postes".
Les sections CGT et SNES du lycée Georges Braque d'Argenteuil le 10.04.08
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